jeudi 4 juin 2009

Rapport final de BEDE sur la convergence des techniques

Rapport final du BEDE sur la convergence (22 pages A4) :
http://www.mediafire.com/?kj0zytzjim1
Commentaires :
http://www.mediafire.com/?dhwgjgjnyjz

Remarques sur le rapport final sur le BANG de BEDE
[...]Après le sommaire avant le ch.I
La Convergence évoqué est celle du BANG ou NBIC, cette convergence n'est qu'une des convergences possible, chaque spécialisation de savoir faire industriel appel en fait une convergence qui lui servirai mieux. On trouve par exemple dans le livre de Ray Kurzweil (informaticien) sur la question de la post-humanité et du transhumanisme l'évocation d'une convergence NGR pour Nano Générique et Robotique.

I. Les nanotechnologies, socle de la convergence
[...]Budget. En évoquant le budget alloué aux recherches en nano, il aurait été intéressant d'évaluer la part de se budget par rapport à la recherche en général afin de bien montrer les moratoires invisibles organisé par l'allocation économique à certaines sciences et techniques plutôt que d'autres.
Règlementations. Concernant les réglementations : certains produits sont contrôlé a la guise des gouvernements, une partie d'entre eux, bénéficie donc d'une « évaluation de sécurité » (dont on se doute qu'elle ne peux pas être correcte puisqu'il n'existe toujours pas de norme), et d'un étiquetage. L'étiquetage, bien qu'il puisse être considéré comme une avancé vis à vis de l'absence d'information, transporte avec lui comme en contrebande un effet pervers : il peu faire croire aux populations que ces produits ne pose pas de problèmes autres que les doutes sanitaires puisqu'ils sont disponibles sur le marché. Il n'en est rien, ces produits sont la manifestation et la prolongation de problème politique grave. Je signale par ailleurs, un contact pour la question des nanoparticules, a Toulouse : Laury Gauthier, écotoxicologue.

II. Vers le développement de la biologie synthétique
La biologie synthétique bien qu'elle semble impliqué une démarche bien différentes d'autres genre de biologie, en garde la substantifique confusion initiale qui considère le vivant comme une machine. Cette logique complètement absurde au vu de l'évolution des connaissances dans le domaine (qui font apparaître les capacité épigénétique et la prégnance de l'environnement sur l'organisme) permet de vendre du rêve de productivité technicienne. Le document fait une remarque sur la question en fin du chapitre mais comme s'il s'agissait d'un problème nouveau alors qu'il a été initié au moins depuis Galilée et son livre du monde codé en langage mathématique. Idéologie reprise de nombreuses fois sous différentes formes (analogie avec la montre, qui se fait aujourd'hui avec l'ordinateur).
De plus comme le fait remarquer Jean Zin : « Cette vie artificielle n'aura rien à voir avec la vie "naturelle". [...] la vie c'est l'évolution alors qu'une vie artificielle se doit de ne pas évoluer, ou à la marge, pour répondre à nos impératifs techniques. Plutôt que des organismes vivants, ce ne sont que des machines biologiques, éventuellement programmables, qu'on devrait arriver à produire. Rien de vraiment vivant car la vie ne se réduit ni à la reproduction, ni au métabolisme alors qu'elle est plasticité, processus de transformation par interaction avec son milieu. »
La biologie synthétique pourrait peut-être être correctement requalifié en insistant sur l'ingénierie nécessaire, et les ressources énergétique employés par la grappe de techniques qui permet son fonctionnement : il ne s'agit probablement en fait qu'une ingénierie de la pétro-culture ou de la culture hors-sol qui vient complété la part grandissante de l'humanité élevé elle aussi en large partie grâce aux pétro-techniques et minerai-techniques.
Le document parlent toujours d'OGM sans plus de précision, alors que le terme OGM agit comme un structure d'aveuglement, la plupart de la population assimile ce terme a des problèmes de santé ou a une métaphysique de sacralisation de la nature, un des problème essentiel et qui demeure caché se situe dans des techniques et des accès limité à ce type de pratique. La requalification encouragé par certains (voir Jean-Pierre Berlan (coordination), La guerre au vivant, ogm & mystifications scientifiques. éd. Agone, 2001.) devrait être largement propagé, j'ai pour ma part proposé à titre provisoire de parler de Doubles (ou Clone) Hybride (ou Chimérique) Génétiquement Breveté.

IV. Le contrôle social et l'amélioration des performances humaines
Le rapport évoque l'implantation des puces RFID comme probablement implantable dans le corps humain pour effectuer de la surveillance. Or, cette tendance est déjà à l'œuvre puisque des humains se sont déjà fait implanté dans cet objectif, on sait notamment qu'on fait peser sur les parents les craintes d'enlèvements des bébés qui seraient retrouvable grâce à ce puçage.
D'une manière générale les RFID sont présenté comme une technique de sécurisation et de traçage des objets pour la faire accepté par la population, mais son origine est celle de l'espionnage russe au cours de la guerre froide : « 1946 Léon Theremin invente un outil d’écoute d’espionnage pour la Russie
; 1948 Harry Stockman écrit les principes
; 1960-70 Application militaire presque exclusive
; 1973 Mario Cardullo’s brevet US du RFID moderne
; 2004 Le Auto-ID Center du MIT devient EPCglobal
; 2005 Wal-Mart et Défense US demandent les RFID
1 ».
L'acceptation de cette technique utilise un pratique d'acclimatation classique : désignation d'une population à risque ou fragile, incapable par elle même de refuser les dites techniques (prisonnier, bébé et comateux!) et extension du marché à l'ensemble de la société qui s'habituera progressivement à l'intrusion de cette technique sans revenir sur l'information qu'elles permettent de transmettre.
De même si comme l'évoque le document plus loin, quelque franges spécialisé de la population sont ciblé pour la propagation des techniques de modifications des capacités humaines inclus dans le corps, il faut bien indiquer qu'a terme c'est chacun d'entre nous qui se voient imposé ses modifications : soit à travers la pression professionnelle qui en quelques années à réussies à imposé l'industrie du téléphone portable à ses nombreux exploité - dès à présent tenues en laisse - démobilisable a tout moment par leur mobile, immobile à toute revendication politique critiquant les techniques.
Mais il y a aussi la perspective de l'eugénisme libéral, ou l'on propose aux parents de sélectionner les gènes de leur futur enfant à travers le dépistage prénatal. Dès lors il ne s'agit plus de faire un enfant, mais de faire L'ENFANT, celui qui correspond à l'idéologie du moment. De même la population qui s'active à s'abreuver de ces modifications ne fait que répercuter toujours plus profondément le daîmon du capitalisme.