mardi 25 novembre 2014

Notes sur "S’aider soi-même" de Lucien Auger


Notes sur « S’aider soi-même ; Une psychothérapie par la raison » de Lucien Auger. Les éditions de l’homme. [1974] 2004.

J’espère que ces quelques notes servirons utilement et éviterons a certain-e-s de faire la même erreur que moi. A savoir attendre des conséquences physiques désastreuses (palpitation cardiaque a minima, sensation de mort imminente1) pour s’intéresser a des questions psychologiques. J’avais antérieurement résisté à aller voir un psy, de part le flou qui il y a sur cette discipline et la non-scientificité de la psychanalyse. Et aussi l’envie d’éviter de dépenser des sous inutilement dans les charlatans du développement personnels, ou autres coach (et de toute façon, je n’ai pas cet argent…). Par ailleurs, je me disais : tes problèmes sont matériels, tu va voir un psy, il va te dire quoi ? « ben en fait vous n’allez pas bien, c’est vrai, voila, ça fera 28 euros »(hypothèse basse). Bref. Je suis resté avec mes problèmes trop longtemps. Ne faite pas la même erreur.
Il y a 3 bons conseils de livres que l’on peut faire : Lucien Auger, « s’aider soi-même », le plus accessible, rapide, au panorama large qui permettra de se sortir soi-même de difficulté actuelles (c’est celui dont je vais traité ici). Pour celles et ceux qui voudrait creuser plus la question, tout en restant accessible : Christophe André, « Imparfait, libres et heureux2 », et pour les érudits précis : Jacques Van Rillaer. « La nouvelle gestion de soi ».

Globalement c’est un livre très accessible qui non seulement se lit rapidement mais a des aspects pratiques assez fulgurant. La thèse générale basée sur des expériences scientifiques, est d’accepter que la raison puisse, même qu’un minimum, agir sur nos émotions et nous permettre non de les nier, mais de ne pas les exagérer, d’éviter leur envahissement, de plutôt leur laisser une juste place. En cela on peu voir une certaine lignée affichée avec le Stoïcisme3. La justification morale de fond, soutient le fait que chaque humain à sa propre valeur qui ne peut-être nié ou le fruit d’un jugement par un autre4.
Le premier chapitre peut laisser un certain froid5 pour les personnes qui identifie clairement leur problème a des causes « extérieure » comme l’absence de revenu, d’amis, ou encore la perte d’un être chers. Cependant, on découvre par la suite que l’enjeu n’est pas de nier ces difficultés, mais d’obtenir un pouvoir supplémentaire : le pouvoir sur ce que l’on pense de soi. Un pouvoir qui plus est que l’on peu obtenir et gérer soi-même sans dépendances supplémentaire si on l’intègre bien (l’exact inverse d’un certain élitisme de la psychanalyse).
Car et cela peut étonner, l’objectif du livre n’est pas de convaincre d’aller voir un psy pour vous faire soigner, mais en quelque sorte d’être vous-même dans la mesure du possible votre psy. Loin de l’idée de vous « culpabiliser » ou de vous enfermer dans des catégories négatives, il s’agit de repérer les pensées négatives que l’on a sur soi-même et qui sont « irréalistes ». Pourquoi « irréaliste » et pas simplement « fausse » ? Parce qu’il ne faut pas nier nos difficultés, faire « comme si » tout allait bien, nier une crise d’angoisse etc. Il faut accepter ce que l’on ressent, mais surtout ne pas en « exagérer » (bien involontairement, c’est bien là le problème) l’ampleur et les conséquences.
Concrètement il peut vous arriver de mauvaise choses, et c’est notre droit légitime de ne pas les apprécier, d’en être triste (il ne s’agit pas de nier toute émotion), mais il faut faire attention à ne pas rajouter a cette dépréciation de la chose, une dépréciation sur nous même ou des sentiments inutiles car sans effets par ailleurs sur la chose qui nous déplaît. Pour les pratiquants de la CNV (Communication Non Violente), c’est comme se l’appliquer a soi-même et ça peut-être assez jubilatoire (surtout quand on a tendance a se détruire beaucoup et qu’on découvre que l’on a une partie de la solution entre ses mains).
Évidemment ce pouvoir a ses limites, et ne permet pas de se sortir de toutes mauvaises situations (il ne va pas vous donner des amis, un toit, à manger, des revenus), mais il serait dommage de l’ignorer dans la mesure ou il peu largement réduire des problèmes réels, sur lesquels de toute manières vous n’auriez peut-être aucune possibilité d’agir, avec la satisfaction supplémentaire d’avoir participé. Il faut dire d’ailleurs que pour certains l’absence d’un jugement extérieur, même d’un psy, peut-être une manière d’apprécier d’autant plus la méthode : personne ne jugera vos difficultés. De plus l’auteur expose des extraits de consultations qui sentent clairement le vécu et qui permettent de se distancier encore avec ses résistances.
« _ […] Ce n’est pas facile de réagir raisonnablement quand les tracas vous tombent sur la tête.
_Je suis bien d’accord avec toi. Ce n’est sûrement pas facile, mais le contraire est-il plus facile, plus agréable ? Est-il finalement plus agréable pour toi de te laisser emporter par tes idées irréalistes ? »
Bien sur on peu toujours fuir, s’échapper temporairement d’un de ses problèmes, et cela peu s’avérer être une bonne solution dans certains cas, et à court terme (par ex. juste quand vous avez besoin de vous endormir), mais a long terme, il vaut mieux s’occuper du problème plutôt que le laisser vous poursuivre.
Voici le modèle général de la méthode proposée (Ch. 2) :
« 1. Un événement se produit dans ma vie à propos duquel je me sens troublé émotivement ;
2. J’observe quelles idées habitent mon esprit à l’occasion de cet événement, quelle perception j’en ai, quel jugement je porte sur lui, quelles phrases intérieures je me répète à ce sujet ;
3. Je compare ces idées, ces perceptions, ces jugements, ces phrases intérieures avec la réalité, la manière dont le monde est en fait ;
4. Si je constate que mes idées sont réalistes, j’en conclus que mon trouble est fondé et il ne me reste qu’à tenter de changer l’événement qui est l’occasion de mon trouble, ou, si cela n’est pas possible, à l’endurer le plus patiemment possible, en évitant de l’amplifier ou de le déformer. »
Le déroulement des idées irréalistes que traite le livre correspond aux travaux scientifiques publiés par le psychologue Albert Ellis (qui a entretenu une correspondance avec Auger).
Il peut-être intéressant pour tout pratiquant de profiter de cette lecture non pour régler le seul problème auquel on peut-être actuellement acculé, mais un ensemble de problèmes dont on pouvait par ailleurs ignorer l’ampleur. Autrement dit : il est conseiller de lire et se renseigner non pas sur la seule idée qui semble nous concerner directement, mais de lire aussi les autres. Par ailleurs, le principe étant facile d’accès il n’est pas exclus qu’a terme on puisse conseiller d’autres personnes confronter elles aussi a des difficultés.
Ces idées, les voici brièvement exposés : (Ch. 4) Ne pas s’enfermer dans une image de difficultés qui serait dues à notre enfance (il ne s’agit pas de nier que notre enfance a été difficile, mais que ensuite, on peut regarder ces difficultés non plus comme actuelles, mais passés. Et ne pas s’enfermer en elles). « De plus, comme la capacité de raisonner avec clarté n’est encore que peu développée pendant l’enfance, il s’ensuit qu’une personne risque alors davantage d’accepter naïvement des idées et des évaluations, qu’elle rejettera peut-être en tant qu’adulte. C’est à ce titre que l’enfance est une période particulièrement délicate pour tout être humain. »
Le besoin d’être aimé et l’estime de soi (Ch .5). Il ne s’agit pas de dire que tout le monde serait mieux seul, et que le besoin d’être aimé est inutile. Mais de montrer qu’il ne doit pas prendre une importance maladive et que cette dernière est souvent la résultante d’une sous estimation de soi. Pour s’en sortir il faut adhérer a l’idée que l’on a de la valeur en nous-même et non par les compétences que l’on est capable de déployer… sans quoi on se sous-estime dès que l’on est pas en situation de les exposer ou de les pratiquer. L’auteur en conclu « qu’il est non seulement impossible, mais nuisible de tenter de se construire une image de soi et de s’évaluer globalement. Je peux bien essayer, et cela est tout à fait légitime, de devenir un meilleur père de famille, un meilleur mari, un meilleur soudeur, un meilleur joueur de football, mais je devrais me garder de l’illusion que je deviendrai pour autant une meilleure personne. »
Socialement es ce que cela veut dire qu’un criminel a autant de valeur qu’un innocent ? La question est mal posée. Il ne s’agit pas de dire que tel ou telle personne a telle valeur, mais de se mettre plutôt d’accord sur des actes que l’on ne veut pas voir être commis et sur une organisation conséquente. En corrolaire, ce n’est pas moi que l’on jugera, mais un acte que j’ai commis en fonction d’une convention qui l’accepte ou pas.
Le perfectionnisme (Ch. 6). Il « mène toujours qu’au même résultat : la frustration, la déception et la dépression ». D’autant plus que l’idée de la perfection est elle même relative, ce qui rend d’autant plus inutile l’intérêt de la rechercher. Globalement il s’agira de se décrocher de la réussite de l’objectif final, de sa seule visée, pour accepter de voir les petits progrès obtenus (ce qui ne revient pas a nier l’horizon). On gagne ainsi deux fois : on profite du plaisir en voyant le parcours, et en plus on se rapproche de la réalisation d’un objectif qui nous est chers (même s’il est possible qu’on ne l’atteind jamais, c’est mieux de s’en être rapproché que d’avoir attendu le moment, ou l’occasion parfaite pour agir… au risque d’agir en fait moins, voir pas).
La culpabilisation et la haine des autres (Ch. 7). Ces pensées représentent une perte d’énergie inutile. Chacun commet des erreurs, et il est d’autant plus difficile de changer si on nous en fait le reproche. On a pas envie de faire plaisir a quelqu’un qui nous agresse. Pour qu’un changement soi possible, aussi bien en soi que chez les autres, il faut laisser un jeu, des libertés de manœuvre et de mouvement qui permettrons l’occasion de ces changements. La pression risque soit d’entraîner la culpabilisation, soit une rationalisation, sans pour autant provoquer de « bon changement » (ce seront des changements sous la contrainte, qui dépendrons donc de la persistance de cette contrainte, avec le risque même pour certains de vouloir s’opposer juste pour rappeler son existence).
Il vaut mieux s’être mis préalablement d’accord sur ce que l’on s’autorise et se permet en fonction d’un objectif que l’on cherche a obtenir, plutôt que l’un décrète aux autres ce qu’ils devraient faire, alors qu’il n’est pas directement victime physique ou mentale de ce qu’il perçoit peut-être seul, comme un « problème ». Remplacer le c’est ta faute, par « que fait on » si cela arrive, et que va tu faire pour améliorer ce que tu as engendré. Responsabilisation plutôt que culpabilisation.
Catastrophisme (Ch. 8). « « Cette situation est insupportable. Je ne peux pas l’accepter, c’est intolérable ; je vais en perdre la tête ! Il faut que ça change, sinon c’en est fait de tout bonheur pour moi. » En m’exclamant ainsi intérieurement, je ne change rien à la situation elle-même, mais je crée en moi une foule de sentiments de dépression et d’agressivité. […] Si l’événement qui vous arrive est vraiment très frustrant et que vous ne disposez présentement d’aucun moyen pour l’éviter ou le modifier, il ne vous reste qu’à l’accepter, sans révolte et sans amertume, quelle que soit son injustice réelle ou apparente, quelque pénibles que soient ses conséquences. Vous ne serez peut-être pas capable de sourire ni de plaisanter quand la vie vous enlèvera ce que vous avez de plus cher, mais il sera déjà bien suffisant que vous n’aggraviez pas votre souffrance en la magnifiant et en l’entretenant par vos pensées irréalistes et vos regrets stériles. »
C’est toujours la faute des autres (Ch. 9). Bien que ce soit possible, mais peu probable, il faut envisager que même dans les cas ou cela arrive, il n’y a pas de raison d’en rajouter. Par ailleurs, il y a des maux, ou tristesse qui sont du uniquement a l’intérêt ou l’attention que nous portons a un jugement, et non pas a une douleur réelle (comme quand qq.un qui vous est chers, vous insulte). Une des difficulté de ce point c’est la non-conscience de certaines idées irréalistes. Il peut-être utile d’examiner toutes les obligations ou pressions que nous ressentons en nous demandant si elle sont le résultat de loi physique ou logique.
L’angoisse, l’anxiété (Ch. 10). Pour moi, le passage le plus important, puisque j’ai clairement ressenti les phénomènes physiques pour commencer a m’en inquiéter… et ils sont tous sauf agréables : gorge qui se serre, bouche qui s’assèche, palpitation cardiaques etc. et j’en passe. Le pire étant probablement, la sensation de mort imminente. Quand j’en ai discuté avec d’autres personnes, j’ai découvert que certain-e-s sont allés aux urgences plusieurs fois de suite, jusqu’à ce que l’on accepte l’idée qu’il s’agit de crise d’angoisse ou d’anxiété. J’ai moi même pour d’autres symptômes (perte de la sensibilité au pieds et doigts qui s’étendaient) était passé un I.R.M cérébral plus ou moins en urgence par ce que je pensais a une S.E.P (Scélore En Plaque), et j’ai bien cru d’autres fois que j’étais en train de faire une crise cardiaque a 4h du matin en me réveillant soudainement. Tout ça parce que je pensais que ces crises psy ne pouvait pas engendrer des phénomènes physiques aussi fort ! Or j’avais tort.
Ces crises arrivent avec l’accumulation de nombreuses angoisses ou anxiété qui peuvent en d’autres occasions passés inaperçus… Jusqu’à ce que le corps décide qu’il est temps de se protéger et se met dans une autosurveillance de soi immodérée. Toutes les défenses sont en marche constante, et l’on repère chaque petite choses qui habituellement passe inaperçues et pour lesquelles ont s’inventent les pires diagnostics (internet aidant). Comme tout ceci serait évidemment trop simple, l’anxiété se mélange souvent au perfectionnisme et a une mésestime de soi. Le fait de savoir que c’est psychologique, ne doit pas mené a la recherche d’un perfectionnisme selon lequel, alors, on va s’en sortir vite. Parceque 1. On s’en sort pas vite, 2. Il faut accepter ce qui nous arrive 3. On peu avoir des sensations de rechute… qui ne doivent pas faire oublier le progrès accompli (cf. perfectionnisme) 4. L’anxiété peu se cacher a de nombreux endroits et en avoir un peu est normal.
D’abord il faut se demander si ce danger est réel, es ce que vous êtes vraiment physiquement en mauvaise santé ? Si c’est le cas, il faut s’y résigner le plus calmement possible. Sinon, il est inutile et dangereux d’ignorer ce sentiment (même si ça peu marcher temporairement), il faut accepter que des crises puissent arriver.
Le sentiment de mort imminente particulièrement désagréable : « Cela nous arrivera à tous, un jour ou l’autre, un peu plus tôt ou un peu plus tard, d’une manière ou d’une autre. Je ne dis pas que la mort soit une chose agréable, mais une chose aussi normale et universelle ne saurait être horrible si ce n’est pas une définition arbitraire ». Ou encore : « Il ne vous reste qu’à accepter l’inévitable sans vous tourmenter ni vous angoisser, ce qui ne contribuerait qu’à rendre plus probable l’accident que vous voulez éviter. Pour vous calmer autant que possible, vous pouvez vous redire qu’il est malheureux que vous soyez forcé de courir ce risque, mais que cela fait partie d’une vie normale, qu’il vous sert à rien de vous inquiéter [...] »
Vous pouvez faire des exercices respiratoires pour vous calmer, en tentant de respirer 3 fois de suite par le ventre, ou encore en vous allongeant et en visualisant de la tête au pied chacune des parties de votre corps comme si vous êtiez en train de le toucher avec vos mains. Tout ces exercices mobilise l’attention.
« Il ne s’agit pas de t’encourager toi-même en te racontant de belles histoires ou en refusant de voir en face les aspects authentiquement difficiles de ta vie pour ne porter ton attention que sur le positif. L’optimisme n’est pas plus efficace que le pessimisme à la longue et il vaut mieux s’en tenir au réel, considéré sous tous ces aspects, puisque c’est tout ce qui existe, en fait. »
C’est trop difficile (Ch. 11). N’attendez pas, ne cherchez pas a éviter les situations difficiles, surtout s’il s’agit de votre santé. Pratiquez l’auto-discipline, l’hédonisme oui, mais a long terme, avec une connaissance réelle de ce qu’il est, a savoir, rien d’une simple accumulation des premiers plaisirs venus, mais bien une organisation stricte pour maximiser ceux que l’on voudrait et en les ayants examinés sous leurs différentes qualités (durée, impact social et environnemental, accessibilité etc.). Il faut répéter souvent, mettre en place ses propres « garde-fous ».
L’image du passé (Ch. 12). Une idée, une pensée est toujours-déjà du passé. Nous pouvons nous endoctrinez nous même dans de mauvaises idées dut a des expériences anciennes. Vous n’êtes plus l’enfant que vous étiez.
Cela devrait être autrement (Ch. 13). Quand qq.chose arrive et que vous ne souhaitiez pas : 1. Et-il indispensable de s’en soucier ? De changer cela ? 2. Si oui, vous y parviendrait certainement mieux en agissant dans le calme, en respectant leur objectif a eux ou en trouvant ceux que vous auriez en commun, « en respectant leur autonomie et leur droit à mener leur vie à leur manière » 3. « Il vous faudra forcément accepter souvent des solutions raisonnable plutôt que des solutions parfaites aux problèmes de la vie. Pendant que vous vous cassez la tête à chercher la solution parfaite ou que vous déplorez de ne pas l’avoir trouvée, vous n’appliquerez pas votre esprit à inventer les diverses solutions possibles à votre situation et à les évaluer objectivement en fonction de leurs avantages et de leurs désavantages. »
C’est trop fatigant (Ch. 14). Attendre que les choses se réalise sans y participer n’apporte que rarement de plaisir, et essayé est très gratifiant et peu apporter un sentiment d’accomplissement. « Certaines personnes […] sont presque toujours paralysées dans leur action par une peur quelconque, la plupart du temps par la crainte de l’échec. Comme elles croient qu’elles ne pourraient pas supporter un échec, ces personnes s’éloignent de toute action dont le résultat n’est pas parfaitement assuré. Comme cette assurance est presque toujours impossible à obtenir, il s’ensuit qu’elles végètent dans une inaction marquée. »
Par ailleurs les études ont montré que plus que les bonnes pensées même aux bonnes actions, ce sont en fait les bonnes actions qui libèrent et multiplies les bonnes pensées.
Conclusion. Pour finir le livre propose aussi quelques petits exercices pratique pour entraîner sa réflexions a reconnaître les mauvaises idées et a proposés des solutions. Une manière de prolonger et de réellement faire vivre la méthode.

Notes :
1Tout ceci explique pourquoi la note sur l’angoisse/anxiété sera plus développée que les autres.
2Attention, pour les tenants en l’existence de Dieu, vous serez peut-être plus a l’aise avec Christophe André, de même que les Athées se sentirons probablement mieux avec Lucien Auger. De ce que j’ai lu de toute façon, il y a des problèmes quelque sois nos croyances, que celles-ci soit rationnelles ou le ne soit pas, a partir du moment ou elles engendrent de mauvaises idées sur soi-même.
Il faut préciser ici, que tout ces conseils de titres de livres m’ont été fait par des pratiquants (psy) eux-mêmes.
3Dans les faits, les Épicuriens avaient eux aussi vu et partagé antérieurement cette idée.
4C’est un bio-anthropocentrisme assez pragmatique et efficace il faut bien le reconnaître.
5Pour être clair j’ai passé de gros moment a batailler avec ce sentiment. L’enjeu en vaut la chandelle.